Dans les centres fermés, comme dans les prisons, la santé relève respectivement des compétences de la Justice et de l’Intérieur, non de la Santé. Quelles conséquences pour l’accès aux soins, notamment en santé sexuelle et reproductive ? Qu’est-ce que le genre ou la présence des femmes questionne de l’organisation des lieux de détention? Quelles alternatives peuvent être pensées ?
La discussion sera précédée de la projection du film de Pauline Fonsny, À l’usage des vivants, qui dénonce la détention des personnes migrantes, de l’assassinat de Semira Adamu à aujourd’hui.
ÉVÉNEMENT PASSÉ !
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